Comme vous le savez, hier avait lieu la cérémonie du Ballon d’Or. Une cérémonie marquée par l’intronisation d’une récompense féminine pour la première fois de l’histoire du mythique trophée.
Costumes, strass, paillettes, athlètes de hauts niveaux, légendes du football d’antan et actuelles, artistes musicaux et danseurs étaient au rendez-vous dans la salle du Grand Palais à Paris. Une soirée avec en point d’orgue la remise du trophée Raymond Kopa récompensant le meilleur jeune de l’année 2018, et celle des Ballons d’or féminin et masculin.
La présentation de la cérémonie était assurée par l’ancien joueur et désormais présentateur télé David Ginola. Si Vegedream a marqué cette soirée par l’interprétation de son titre « Ramenez la coupe à la maison« , Martin Solveig autre artiste musical français a lui laissé une tout autre image de son passage.
Martin Solveig : enfin un ballon d’or féminin, il était temps
2 minutes later mdr :#BallonDor pic.twitter.com/W6IJ6286nR— nul. (@InsafOo) 3 décembre 2018
Le compositeur des titres « Hello » ou encore « Intoxicated » a véritablement créé une polémique en demandant à la lauréate du Ballon d’Or féminin Ada Hegerberg, si elle savait twerker. À court de mots face à cette question qui n’avait rien à faire ici, la serial buteuse norvégienne s’est contenté de répondre que non. Cependant cette scène gênante n’est pas passée inaperçue sur la toile. Les fans (ou non) de la joueuse de l’OL se sont indignés de cette question posée envers une femme qui aurait mérité d’être traitée avec le plus grand respect.
Coupable de cette maladresse, Martin Solveig a tenu à éclairer ses propos sur les réseaux sociaux et à présenter ses excuses.
J’ai expliqué l’affaire à Ada et elle m’as dit qu’elle avait compris que c’était une blague. […] Je ne pensais pas que cela aurait pu être vu comme une telle offense surtout en considérant toute la séquence où on a fini par danser elle et moi. C’était une blague, et probablement une mauvaise. Je tiens à m’excuser auprès de tous ceux que j’ai pu offenser. Désolé pour ça. ~ Martin Solveig.